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Décret : 123 officiers de la Douane envoyés à la retraite

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Dans un décret lu, mercredi 20 octobre sur les antennes de la télévision Nationale (RTG), après  l’armée où 42 généraux ont été mis à la retraite, le Chef de l’Etat, vient d’envoyer à la retraite une centaine d’officiers de la Douane. Il s’agit des Généraux,  Colonels,  lieutenants-colonels et  des commandants. Une véritable purge d’anciens officiers au sein des troupes. Qui sont-ils ?  Kumpital.com  vous proposes ci-dessous l’intégralité de la liste des 123 officiers paramilitaires en service aux Douanes qui font valoir leur droit à la retraite.  

1- Général de division Toumany Sangaré, Matricule 19 84 08 S.

2- Général de brigade Guilavogui Oubou Zézé, M. 11 29 01 D

3-Karinkan Condé, M. 11 56 04 W

4- Bangoura Ismaël Leonard, M. 11 56 23 X

5- Camara Amadou Gueye M. 12 67 78 G

Les Colonels

6-Colonel Traoré Balla, M. 13 57 93 D

7- Délamou Pépé Jonas, M.15 14 56 G

8- Koïvogui Yoka, M. 15 14 60 A

9- Traoré Issa, M. 15 29 98 Z

10- Touré Ibrahima Sory, M. 16 62 20 D

12- Condé Amara, M. 13 56 83 Z

13- Camara Fodé Amidou, M. 14 92 28 H

14- Soumah Alexandre, M. 16 25 64 M

15- Kourouma Ibrahim, M. 16 85 83 H 

16- Bayo Kabinet, M. 11 18 9 K

17- Touré Mohamed Lamine, M. 13 77 73 E

18- Bangoura Lansana, M. 18 56 35 P

19- Keita Kadi Madi, M. 10 88 14 K

20- Traoré Sava, M. 11 56 11 F

21- Camara Mahmet, 17 04 62 D

22- Traoré Kabinet, M. 14 04 61 G

23- Traoré Mamadi, M. 17 04 64 G

24- Camara Sékou Amadou, M. 11 56 67 Y

25- Condé Aboubacar, M. 16 72 88 F

26- Ouamouno Lamé, M. 16 79 94 D

27- Keita Mansa Kolon, M. 11 39 96 F

28- Bangoura Jean Pierre, M. 17 41 11 N

29- Zabré Charles, M. 11 16 57 B 

30- Touré Almamy Sékou, M. 14 55 88 N

31- Kaba Mociré, M 14 67 37 N

32- Camara Ibrahima Kamil, M. 17 87 44 R

33- Bangoura Aboubacar, M. 11 56 29 A

34- Camara Lancei, M 17 48 28 R

35- Keita Sory, M 17 85 46 R

36- Kaba Mamadi, M 18 55 84 B

36- Sonassa Kaba, M 11 29 05 L

37- Traoré Sékou, M 11 56 30 W

38- Toupouvogui Kolou, M 16 33 51 K

39- Maomi Paya, M 11 23 14 H

40- Guilovagui Zézé, M 11 61 77 E

41- Touré Pévé, M 18 55 91 L 

42- Kourouma Lansana, M 10 88 11 L

43- Bandjougou Keita, M 12 22 90 D

44- Touré Mariama Daouda, M 17 04 55 B

45- Doumbouya Facely, M 15 55 74 D

46- Touré Mohamed SALIOU, M 10 85 87 L

47- Camara Kerfala, M 11 29 33 E

48- Camara Morlaye, M 14 08 56 Y 

49- Sylla Cheick, M 15 80 32 S

50- Kolié Siba Pascal Mathos, M 18 89 91 Y 

51- Zogbelemou Noel Niankoye, M 16 78 25 K

52- Bangoura Soriba, M 17 16 98 B

53- Sylla Mamadou, M 19 73 07 W  

Les lieutenants colonels

54 – Sylla Ibrahima Sory, M 11 58 70 C

55- Touré Mariama, M 13 56 84 N

56- Diallo Ousmane Kolon, M 11 63 37 E 

57- Camara Mamadou 3, M 15 27 05 J 

58- Koné Sidiki, M 15 07 05 A

59- Kalivogui Niankoye, M 15 17 66 D

60- Koundouno Madeleine, M 15 20 19 N

61- Balamou Jean Boskou, M 15 27 33 B

62- Samoura Mamadou Dian, M 15 27 35 L 

63- Gbilimou Niankoye, M 10 25 07 R

64- Soumah Ousmane 1, M 15 18 14 B

65- Kolié Keoulen, M 15 23 49 R

66- Kondiano Pierre, M 15 24 17 K

67- Milimono Tamba Zak, M 15 27 06 Y 

68- Keita Fodé, M 15 27 14 X

69- Tolno Antoine, M 15 27 32 G

70-  Bangoura Yamoussa, M 15 30 47 D

71- Bah Aissatou, M 15 30 48 D

72- Kourouma Sory, M 15 45 56 W

73-  Camara Bakary, M 19 30 35 Z

74- Keita Dantigui, M 11 63 74 D

75- Samoura Mamadou, M 15 20 16 V

76- Doumbouya Mamdi, M 11 56 27 F

77- Soumah Ibrahima, M 11 62 18 A 

78- Diallo Aissata, M 15 22 84 D

79- Savané Mohamed Youla, M 15 30 41 E

80- Keita Djénabou, M 19 85 81 S

81- Camara M’Ma, M 11 56 10 G

82- Sylla Abdoulaye, M 14 04 71 Z

83- Ylika Germain, M 14 55 76 D

84-Bah Souleymane, M 15 23 47 H

85- Diallo Djibril, M 15 14 61 G

86- Tolno Jullien, M 19 30 46 S 

87- Youla Fatoumata, M 11 66 08 F

88- Maha Ousmane,  M 15 31 78 L

89- Diarra Seny,  M 17 87 54 G

90- Bangoura M’mabinty, M 15 30 33 H

91- Savané Balla, M 18 56 32 F 

92- Camara Mohamed Lamine, M 18 56 66 B 

93- Bangoura Lansana, M 18 57 04 D

94- Camara Tenimba, M 16 51 84 D

95- Keita Bandjou, M 11 29 04 D

96- Dioubaté Faramany, M 11 57 08 N

97- Diallo Néné Oumou, M 17 90 05 Z

98- Diop Moustapha, M 19 46 70 D

99- Condé Moungué, M 15 83 74 E 

100- Doumbouya Samori, M 17 41 19 Z

101- Camara Wata, M 18 78 50 W

102- Kaba Fouleymatou, M 16 52 04 E

103- Keita Abdourahamane, M 19 88 60 A

104-Kpleyte Marie, M 19 86 70 B

105- Barry Boubacar, 10 67  34 D

106- Touré Amara, M 16 34 29 V

107- Doumbouya Ousmane, M 17 72 10 E 

108- Camara Fatou, M 11 56 09 E

109-  Camara Amara, M 15 14 63 W

110-  Camara Kerfala, M 19 81 27 Y

Les commandants

111- Coronthie Zaoro, M 16 33 53 R

112- Soumah Aboubacar, M 15 30 09 A

113- Sylla Mohamed, M 11 29 18 D

114- Camara Sékou Abdoul, M 18 56 71 Y

115- Béavogui Nouhou. M 19 33 75 G

116- Dopavogui Kolou, M 17 58 29 K

117- Sylla Adama, M 17 04 66 S 

118- Sylla Sékou Amadou, M 16 61 78 L

119- Condé Dantouma, M 19  81 47 F

120- Bangoura Mohamed Kassory, M 16 96 03 J

121- Traoré Djiba, M 18 38 26 D

122- Baldé Ibrahima Khalil, M 18 27 48 E

123- Bangoura Amara, M 20 19 35 D

Si pour bon nombre de personnes ces retraités sont une chasse aux dignitaires du pouvoir dechu d’Alpha Condé, le CNRD évoque les dispositions de l’article 55 du Statut particulier du personnel de l’administration des douanes et sur la base des données du recensement biométrique de 2016.

Kouné DIALLO pour Kumpital.com

Justice

Procès de Aliou Bah : Le président du MoDeL rejette les charges d’offense au chef de l’État et de diffamation

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Conakry, 31 décembre 2024 – Le procès de Aliou Bah, Président du Mouvement Démocratique Libéral (MoDeL), s’est ouvert ce matin au Tribunal de Première Instance de Kaloum. Le leader politique est poursuivi pour offense au chef de l’État et diffamation après des propos tenus lors des assemblées générales de son parti. Le prévenu a rejeté en bloc les charges qui pèsent contre lui, qualifiant cette procédure de politique et de ciblée.

Le ministère public a estimé que les propos d’Aliou Bah à l’encontre des dirigeants guinéens constituaient une offense au chef de l’État, notamment lorsqu’il qualifie les autorités de « corrompus » et de « dictateurs« . Selon le parquet, ces déclarations ont été tenues lors des assemblées générales du MoDeL, et visent directement le Président de la Transition, Général Mamadi Doumbouya, qui a décidé de traduire Aliou Bah en justice. Le procureur a spécifiquement mis en avant des expressions comme « incompétence« , « légitimité des autorités » et « les kidnappings » utilisés par l’accusé, pour justifier les charges retenues contre lui.

Dans ses déclarations, le prévenu Mamadou Aliou Bah a affirmé avoir reçu des alertes et des menaces avant son arrestation, notamment de la part du journaliste Habib Marouane Camara et du Général Balla Samoura. Il a également dénoncé ses conditions de détention au Haut Commandement de la Gendarmerie Nationale, qu’il qualifie de difficiles et inhumaines. Toutefois, le parquet a rejeté ces déclarations, les qualifiant de simples allégations, et a affirmé que les propos tenus par Aliou Bah, qualifiant les dirigeants de corrompus, dictateurs et kidnappeurs, portent atteinte à la dignité du chef de l’État et constituent des infractions pénales.

De son côté, la défense d’Aliou Bah a fermement rejeté ces accusations. Elle a souligné que le chef de l’État ne s’était jamais constitué en partie civile dans cette affaire, ce qui, selon elle, remet en question la légitimité de la procédure. Les avocats de la défense ont également insisté sur le fait que le parquet se base uniquement sur des éléments politiques pour étayer les accusations. Selon eux, Aliou Bah est victime de son engagement politique et de ses critiques vis-à-vis du pouvoir en place.

L’accusé, lors de son audition, a affirmé qu’il n’avait jamais eu l’intention d’offenser le président ou les institutions, mais qu’il exerçait simplement son droit à la liberté d’expression en tant que leader politique. Il a également souligné que ses propos visent à dénoncer ce qu’il considère comme des aberrations politiques et des violations des droits humains, notamment les phénomènes de kidnapping et la gestion de la crise politique en Guinée.

Les débats se poursuivent actuellement au tribunal de première instance de Kaloum, où les avocats de la défense continuent de plaider en faveur de l’acquittement de leur client.

L’audience est suivie de près par les observateurs, la société civile et les partis d’opposition, qui considèrent cette affaire comme un test de la liberté d’expression en Guinée, dans un contexte politique marqué par des tensions croissantes entre le gouvernement de transition et les opposants.

Boubacar Baldé depuis le TPI de Kaloum pour Kumpital.com

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Aliou Bah, président du MoDeL, placé en garde à vue pour « offense au chef de l’État »

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Le président du Mouvement pour la Démocratique Libéral (MoDeL), Aliou Bah, a été placé en garde à vue à la Direction des Investigations de la Gendarmerie Nationale, pour des motifs d’ « offense au chef de l’État » selon le communiqué N°3 publié par la cellule decommunication du parti publié ce vendredi matin. Cette décision fait suite à une audition de près de cinq heures, qui s’est déroulée dans la nuit du jeudi 26 au vendredi 27 décembre 2024, au sein du haut commandement de la Gendarmerie.

Lors de cette audition, M. Aliou Bah a été interrogé par les enquêteurs et a fourni des explications, que ses avocats estiment ne constituer en aucun cas une infraction. Selon la Cellule de Communication du MoDeL, le président Bah demeure serein et confiant malgré les conditions de détention, qu’il déplore. Son engagement en faveur de la justice et de la vérité, affirment ses proches, reste intact et inébranlable. Le communiqué souligne que M. Bah est « un prisonnier de ses opinions », précisant que son seul « crime » apparent réside dans ses critiques à l’encontre de l’État, notamment concernant la gestion de la recrudescence des phénomènes de kidnapping et des disparitions forcées qui affectent la Guinée. Ces prises de position auraient conduit à l’arrestation du leader politique, considéré par ses soutiens comme une tentative de répression de la liberté d’expression.

Le MoDeL informe également que certaines personnes de l’entourage de M. Bah, telles que Aliou Sow, son chef de protocole, ainsi que son chauffeur, ont été libérées après leur interpellation. Malgré la situation, le parti reste « pleinement mobilisé » et appelle à une solidarité pacifique et à un soutien massif en ces moments difficiles.

Dans son communiqué, le MoDeL réitère son engagement à défendre les droits du président Bah et assure qu’il suivra de près l’évolution de la situation. Le parti s’engage à ne ménager aucun effort pour garantir la protection des droits et libertés de son leader et pour faire face à ce qu’il considère comme une violation des droits fondamentaux.

Le MoDeL a également promis de tenir l’opinion publique informée de tout développement concernant cette affaire.

Ci-dessous le communiqué ⬇️


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Les Forces Vives de Guinée protestent contre l’interdiction de sortie du territoire du Président du Model, Aliou Bah

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Les Forces Vives de Guinée (FVG) ont exprimé leur ferme désapprobation suite à l’interdiction arbitraire de sortie du territoire imposée au Président du parti Model, Aliou Bah, par les forces de sécurité guinéennes. L’incident s’est produit ce jeudi 26 décembre 2024 à la frontière de Pamelap, où M. Bah a été empêché de quitter le pays sans qu’aucune notification officielle ou décision d’une juridiction compétente ne lui ait été communiquée.

Dans une déclaration publiée ce même jour, les FVG ont dénoncé cette action, soulignant qu’elle constitue une violation flagrante de l’article 18 de la Charte de la Transition, qui garantit à tout citoyen le droit de circuler librement à l’intérieur du territoire national, d’en sortir, de revenir et de s’y établir, sauf dans les cas prévus par la loi. L’article stipule clairement que « tout citoyen a le droit de circuler librement, et il ne peut être porté atteinte à ces droits que dans les conditions définies par la loi ».

Les Forces Vives de Guinée ont condamné ce qu’elles considèrent comme une atteinte aux droits fondamentaux des citoyens et une pratique illégale. Elles ont exprimé leur solidarité totale avec Aliou Bah et ont exigé sa libération immédiate et sans condition. Cette action a provoqué une onde de choc parmi les partis politiques et les organisations de la société civile qui dénoncent l’usage excessif de la force et l’absence de respect des procédures judiciaires dans le pays.

La situation met également en lumière les tensions persistantes autour des libertés individuelles en Guinée, particulièrement dans un contexte politique déjà fragile. Alors que le pays est en pleine transition, les Forces Vives de Guinée appellent à un respect absolu des principes démocratiques et des droits humains.

La déclaration des FVG s’inscrit dans un climat de mécontentement croissant envers les actions du gouvernement de transition, qui fait face à des critiques concernant le respect des libertés publiques et la gestion des droits fondamentaux des citoyens.

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