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Hausse du prix du carburant: «… C’est normal » réagit le chef de file de l’opposition guinéenne.

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Le prix des produits pétroliers est revu à la hausse par le gouvernement guinéen depuis la nuit dernière. De 9000 gnf, le litre passe à 11000 gnf.  Cette augmentation du prix des produits pétroliers est sur toutes les lèvres et chacun y va de son commentaire dans la cité. Dans la matinée de ce 4 octobre 2021 nous avons tenté d’avoir la réaction de Mamadou Sylla.

C’est à travers sa page Facebook que Mamadou SYLLA, chef de file de l’opposition s’est exprimé sur cette actualité. D’entrée de jeu, il tient tout d’abord à préciser que : « L’augmentation du carburant ce n’est pas une première fois. C’est normal. Cela fait partie de la gestion courante de la vie. Augmenter et après diminuer quand le prix baisse à l’international, c’est normal.  Mais il faut sensibiliser et faire des structures des prix, et de respecter le principe de flexibilité. Il faut faire des études à quel pourcentage il faut augmenter. Mais si on augmente comme cela, on ne sait pas quelle est la référence, c’est là que le bât blesse. Donc avec cette économie moderne, mondiale, quand tu augmentes ce que tu as, l’autre utilise la même chose. Alors, il faut faire des mesures d’accompagnement avant d’augmenter »

Avant de rajouter que  la décision du gouvernement de ne pas augmenter les frais de transport n’est pas respectée :« On a suivi à la télé que les transporteurs ne doivent pas augmenter, mais ce sont des histoires. Tout le monde est en train de payer au lieu de 1500 le tronçon, On paye à 2000 fg », a relevé le chef de file de l’opposition.

Cette augmentation  de 2000 gnf qui avait finalement été reporté une première fois il y’a près de deux mois a finalement eu lieu  sous le regard impuissant des citoyens qui continuent de tirer le diable par la queue.

Kouné Diallo pour Kumpital.com 

Communiqué

Communiqué du Front Républicain pour des Actions Patriotiques (FRAP)

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Ci-dessous un communiqué du Front Républicain pour des Actions Patriotiques en réaction à l’évolution de la situation sociopolitique en Guinée. Le document, présenté ci-dessous dans son intégralité, expose la position et les préoccupations du mouvement.

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ANGOLA

Le Pr. Alpha Condé décoré à Luanda pour le cinquantenaire de l’indépendance

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L’ancien président guinéen Alpha Condé a été décoré ce jeudi 6 novembre 2025 à Luanda par son homologue angolais João Manuel Gonçalves Lourenço, à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance de la République d’Angola.

La cérémonie solennelle s’est tenue à l’Hôtel Intercontinental de Luanda, en présence de plusieurs dirigeants africains et personnalités invitées.Au cours de l’événement, le Professeur Alpha Condé a reçu la Médaille du 50ᵉ anniversaire de l’indépendance — Classe d’Honneur, l’une des plus hautes distinctions angolaises.

Cette décoration s’inscrit dans la série d’hommages rendus par le gouvernement angolais à des personnalités africaines et internationales ayant contribué au rayonnement du pays et au renforcement des liens de coopération régionale.

Selon la note protocolaire annonçant cette distinction, la médaille commémore le courage et le sacrifice du peuple angolais dans sa lutte pour la liberté et l’autodétermination, tout en valorisant les partenaires et alliés qui ont soutenu l’amitié et la solidarité avec l’Angola.

📍 Luanda, le 6 novembre 2025

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Guinée

Plainte de Cellou Dalein Diallo devant la cours de justice de la CEDEAO : l’UFDG clarifie ses intentions

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L’Union des Forces Démocratiques de Guinée (UFDG) a publié un communiqué pour clarifier la portée de la plainte déposée par son président, Cellou Dalein Diallo, devant la Cour de justice de la CEDEAO.

Le parti affirme que cette démarche ne vise pas une participation à l’élection présidentielle prévue le 28 décembre, mais la restauration de ses droits civiques et politiques.

Selon le communiqué de la Cellule de communication du parti, l’ancien Premier ministre a saisi la juridiction communautaire
à la suite du refus arbitraire de l’État guinéen de l’enrôler dans le fichier électoral, « alors qu’il était en possession de tous les documents requis ».

Un combat pour les droits, non une stratégie électorale

« La plainte vise exclusivement à dénoncer une violation manifeste des droits civiques et politiques de M. Diallo et à obtenir réparation », précise l’UFDG. Le parti insiste sur le fait que la saisine de la CEDEAO n’a aucun lien avec la présidentielle du 28 décembre 2025, à laquelle il a déjà annoncé ne pas participer.

« Être rétabli dans ses droits est une chose, décider de les exercer en est une autre », souligne encore le communiqué.
Autrement dit, l’inscription sur la liste électorale ne traduit pas une volonté de candidature ni même de vote.

Clarification face aux spéculations

Cette mise au point intervient après plusieurs interprétations médiatiques ayant laissé entendre que la plainte visait à permettre à l’ancien Premier ministre de se présenter à l’élection.
L’UFDG rappelle que sa position demeure inchangée : elle ne participera pas à un scrutin jugé non inclusif et sans garanties de transparence.

Le parti conclut que cette distinction « mérite d’être clairement comprise et respectée » afin d’éviter toute confusion sur les motivations réelles de son leader.

Source : Communiqué officiel de la Cellule de communication de l’UFDG

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